Mardi 25 septembre 2 25 /09 /Sep 12:21

Certains d’entre vous m’ont peut-être déjà lu, j’avais un blog il y a quelques années, le temps file vite !! J’y décrivais mon gout pour la domination sur la gente féminine, une domination un peu en marge de celle que l’on rencontre en général. J’étais un homme marié de longue date qui trompait sa femme avec de jolies petites soumises. Malheureusement je ne trouvais pas cette perle rare, celle dont tout vous plait, celle qui vous comprend, celle qui vous dit oui, celle qui a les mêmes envies que vous, celle qui vous aime quoi qu’il arrive.

 

Mais un jour j’ai croisé Sophie, 15 ans ans de moins que moi, belle et intelligente, une envie folle de vivre sa soumission, des désirs compatibles aux miens. Je l’ai prise en main, je l’ai dressé à ma façon, je ne suis pas une brute mais j’aime que l’on m’obéisse, elle savait se donner, se donner vraiment, sans manière, elle apprenait vite, nos sentiments grandirent en même temps. Au bout d’1 an je sentais que son absence devenait un manque terrible, l’idée de quitter ma femme se mit à germer dans ma tête.

 

Quitter une femme que l’on a épousé plus de 20 ans plus tôt n’est pas une chose facile, même si le grand amour n’est plus vraiment là, chacun ayant évolué, changé de son côté, la vie nous a lié, une complicité, une amitié, un amour fraternel je dirais est présent, et la peur de faire du mal, la peur de quitter ses petites habitudes, la peur de faire une grande bêtise….

 

Pourtant les 3 ans arrivèrent et ma Sophie était toujours fière d’être à mes pieds et aimante comme au premier jour, notre complicité mutuelle avait croit encore et encore, tout comme nos sentiments. Je lui avouais mon envie de l’avoir toujours à mes côtés, elle me répondit que c’était ce qu’elle désirait le plus mais que tant que je n’aurais pas divorcé elle ne voulait pas en entendre parler pour ne pas gâcher les moments qu’on partageait ensemble, elle attendrait que je sois prêt.

En fait ça faisait 1 an que je tournais tout ça dans ma tête, 6 mois plus tard je trouvais un appartement à ma femme, et demandais le divorce….

 

Aujourd’hui ça fait 12 ans que je suis avec ma soumise, je ne regrette absolument pas, nous avons continué ensemble. C’est ma compagne, soumise, mais ma compagne, je continue à la dresser, je continue à la faire pleurer, à la faire jouir, je suis un homme aimé et heureux.

 

J’ai toujours eu besoin de me sentir aimé, voire adulé, pourtant je ne suis pas une personne prétentieuse, mais j’aime ça, et Sophie sait me donner l’impression que je suis l’homme le plus beau et le plus fort qu’elle désire plus que tout autre homme.

 

Pas toujours simple d’allier vie quotidienne et domination, sans tomber dans une routine ou dans l’absurde. J’ai pris une femme de ménage, pour ne pas semer le trouble dans l’esprit de ma soumise, je ne veux pas qu’elle soit ma bonne, toutefois, je sais qu’elle aime jouer à la soubrette, alors j’ai gardé deux pièces qu’elle doit entretenir, mon bureau avec un beau parquer à cirer à quatre patte, et les toilettes à récurer à genoux . Le bureau est souvent source de jeux divers, à son initiative ou à la mienne, petite pipe sous le bureau, repose pied, jeux de la secrétaire, et les toilettes est un lieu qui m’a toujours beaucoup inspiré aimant l’humiliation et l’uro.

 

Sinon nous faisons une répartition des tâches de la maison sans règles définies, et c’est très bien ainsi. Si j’ai passé une journée difficile au bureau ma soumise se donnera du mal pour que la soirée me soit agréable, si nous nous querellons pour de petites choses absurdes je ne vais pas imposer le Maitre, du moins pas tout de suite, si elle a raison je dirais une chose dans le genre : « ok, c’est bon, t’as raison, allez viens me sucer la queue maintenant » et si elle a tort, ce qui est souvent le cas …. J’en profite un peu, j’aime l’entendre s’excuser, ramper devant moi, mais ça se termine de la même façon, à genoux ma queue au fond de sa bouche.

Je vous assure que c’est un très bon moyen d’endiguer les disputes conjugales !!! 

 

Ma vie d’homme est depuis Sophie un délice, je suis un homme comblé, aimé, vénéré même, je fais toujours ce que je veux, d’elle compris, je suis le Maitre dans ma demeure, et  je peux en profiter, je partage de fort moment de tendresse, de complicité, d’humour, des moments de la vie de tous les jours, et je peux me faire sucer l’anus sur un simple claquement doigt, j’ai une femme, une amie et une chienne à domicile, les trois sont à moi et uniquement à moi.

 

Elle est heureuse également, bien sûr, sinon elle serait déjà partie depuis le temps, l’important pour elle est que je la domine toujours, que je reste le Maitre, c’est très important, et pas si simple que cela parait, je respecte ma soumise et je l’aime, je lui fais l’amour mais je la baise comme une pute également, je peux l’humilier à la faire pleurer, pour mon plaisir, et pour le sien, l’important est que le plaisir soit partagé, si tout le monde est satisfait alors ça dure.

 

Bien sûr il m’est arrivé de la punir….

 A côté de ça, je peux lui faire mal physiquement juste par plaisir, j’adore voir ses yeux embués de larme qui me regarde, elle ne se rebelle pas, elle subit, ma soumise est forte, elle croit que c’est moi, pourtant…

 

Un exemple, je l’encule et lui met une pince sur le clitoris, je joue avec pendant que je lui ramone le cul, elle gémit de douleur, pendant que je gémis de plaisir, elle peut même me supplier, ça m’excite encore plus, je la couvre de petit commentaires, je lui fait partager mon plaisir, ce qui la soumet encore plus, j’adore ça, mais le clou, c’est quand je suis prêt à jouir, que je retire sa pince, que sa douleur est à son plus haut, et que je lui jouis sur le visage, ses larmes se mélangeant à mon sperme, ses yeux qui me regardent suppliant, et sa langue qui lèche ma queue, mes couilles, mon cul, malgré ce que je viens de lui faire, et que je continue après par pur plaisir de la voir gémir encore, se tortiller, je l’embrasse tout en appuyant mes doigts sur son clito douloureux, je sais que cela lui fait du mal, elle me supplie de toutes les façons possible, et je la cajole comme un salaud sans arrêter de lui masser la chatte de mes doigts. 

 

Je peux être un salaud avec elle, car elle aime ça ! Mon côté salaud l’amuse, elle l’aime beaucoup ce côté de moi.

 

J’avais envie de décrire un peu après cette présentation mes gouts dans la domination, ma façon de faire, de pratiquer, un peu loin des règles bdsm …. Je pratique une domination sexuelle avec beaucoup d’humiliation et un peu de douleur.

 

De la tête au pied, j’ai tenté de décrire rapidement tout ce que j’aime faire, et que ma soumise aime ou aime moins, car je suis le maitre et même si je fais attention à ce qu’elle prenne du plaisir, il m’arrive de faire des choses qu’elle n’aime pas, du moins pas encore…. J’utilise son corps comme je le souhaite, je lui fais tout ce dont j’ai envie sans exception.

Je souhaite avoir vos envies, ce qui vous inspire, ce que vous avez ou aimerez pratiqué, vos impressions quoi ! 

J’effacerais les commentaires au fur et à mesure, si je les trouve soit trop moralisateur, soit trop agressif.

Je tiens à préciser de nouveau que ma soumise est consentante, que jamais je n’impose ma loi avec force et agressivité, que si quelque chose ne lui convient pas, elle peut me l’indiquer, j’en tiendrais compte.

 

Ma soumise prend son plaisir et son excitation dans sa soumission, dans l’humiliation, nous parlons beaucoup, je connais ces fantasmes, je les lui fait vivre dans une relation saine et amoureuse.

Par lesgoutsdumaitre - Communauté : Le sexe sans tabous - Voir les 0 commentaires
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